« Il est des rêves comme des poupées:
Leur vie dans la réalité est éphémère. »
Ce sont des pages de briques
Profilées sur le dortoir du monde
Qui se jettent à nous.
Arrose, arrose autour de toi
Car la faune ne mange jamais seule.
C’est bien ce que m’a dit ce vieil homme
Qui avait tout vu, tout lu, tout bu:
« Tu es peut-être moins mort qu’hier
Mais plus en vie qu’aujourd’hui. »
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